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7 février 2012

Lettre ouverte


 Tunis le 3 février 2012
Lettre ouverte
De  Melle Rafika Ben Mrad
Enseignante de philosophie à L' Institut Supérieur de Théologie,
Université de La Zitouna.Tunis
A   l'Intention de son honneur Monsieur Le Conseiller Général Chargé de L'UNESCO   en Tunisie.
Objet :  Démarche en vue de retirer le Privilège de La Chaire UNESCO de Philosophie à Monsieur Le Professeur Fathi Triki / Faculté des Sciences Humaines et Sociales, Université de  Tunis-I-.
Monsieur Le Conseiller Général,
Pour être brève, permettez-moi de procéder en interrogatif sur lequel  j'y suis depuis 15 années : avez-vous jamais entendu parlez, votre honneur, d'un Président de jury National de recrutement et de  Promotion - ( Monsieur le professeur Fathi Triki  dans ce cas)- et qui,   après avoir statué en faveur d'un candidat,  cède son honorable tâche alors qu'il est élu, à un doyen -  professeur d'Histoire( Monsieur Hassen Annabi)  en vue de "retirer un diplôme de Doctorat en Philosophie"? Et ce, Monsieur le Conseiller Général,  à une jeune collègue, auteure de cette démarche auprès de l'Unesco,  qui eut confié son dossier aux Services des Examens  du Ministère de L'enseignement  Supérieur et la Recherche Scientifique  en vue d'une promotion interne  sans  que Monsieur ledit" Président de Jury National" élu pour la tâche, prenne la responsabilité de  l'informer de ce qui lui arrive jusqu' à ce jour!  Décision de retrait de mon diplôme prise arbitrairement et injustement , et sur laquelle fut fondée une" Décision de radiation de la Fonction Publique" prise ,en conséquence, par le Ministre de l'enseignement Supérieur.
 Double brimade qui a été fortement dénoncée  par le Tribunal Administratif en Tunisie,  depuis 2001,  mais qui pèse toujours sur mon être, sur  ma carrière universitaire,  sur ma vie privée   puisque les harcèlements de Monsieur Triki et de tout un monde tribal autour-  par intérêts  bien sûre -  n'ont jamais cessé et cela par effet des pouvoirs pluriel, et essentiellement, celui du "Chargé de  La Chaire Unesco de philosophie à l'Université de Tunis-I- Monsieur Triki, qui est par ailleurs : "Coordinateur de la Revue " Rue Descartes", Directeur du  Laboratoire" Philab" et par dessus tout, Professeur e-merite, membre fondateur de l'Association Tunisienne d'Esthétique et de Poétique à dimensions  méditerrano-africaines   présidée par sa femme Madame Rachida Triki   Professeur de philo  au même département de philosophie... etc. (Toutes frontières mêlées bien sûre).
Monsieur  ce  doyen, professeur d'Histoire, sinon faiseur d'histoires, la mienne surtout, fit venir en 1997 sa collègue, l'épouse de Monsieur Triki, madame Rachida Triki , en sa qualité de Présidente de  mon jury de soutenance en 1993 pour  m'octroyer le DRA -  un jury interne au département de philo de la Facultés des Sciences Humaines et Sociale de L'Université de Tunis- I-  et  qui fut institué pour la circonstance -  en vue de revenir  en 1997 sur  une estimation, sur laquelle,  elle et les restes des membres du jury,  se sont prononcés très  favorablement  à l'époque et leur tâche devrait en principe s'arrêter net là. ci jointes les estimations nouvelles par lesquelles on avait apporté atteinte à mes  travaux de  recherches, à ma dignité en tant que jeune  collègue chercheure  et en conséquence à mon avenir professionnellement et socialement en me déstabilisant  ainsi  barbarement et illégalement , et à ma confiance aux services des Examens auxquels j'ai confié mon dossier en vue de promotion et qui me doivent  jusqu alors une explication. C'est pourquoi, Monsieur le Secrétaire Général chargé de La Chaire Unesco, votre Honneur  , la responsabilité des Triki  et de ce doyen  fait objet d'un préjudice extrêmement grave à l Ere de " La Régente de Carthage" qui est dans " les Bibliothèques françaises" mais aussi  dans les grandes avenues de Tunis après  Le 14 Janvier 2011, encore plus sur les grandes pages de la Presse électronique.
 Les " pourquoi" de cette double brimade ?  


En effet, Je ne les connais toujours pas sauf par quelques bribes de ce rapport que j'ai pu glaner auprès du Tribunal  et qui souligne de nouveau mes qualités de : " l'emprunt fait de cet ouvrage de vulgarisation philosophique paru récemment; la maîtrise de la langue de rédaction de l'ensemble de la thèse, la méthodologie ainsi que la qualité de l'oral nous ont induits en erreur". Que demanderait-on alors  d'un jeune chercheur, qui,  hier il fut  l'un  de leurs meilleurs étudiants et aujourd'hui, il est  l'un des leurs meilleurs ennemis, si  influents soient monsieur et Madame Triki sur la place ! D'autant plus que les membres de ces différents  jurys  soulignent leur limites et continuent  à siéger dans les différentes instances où  le pouvoir de ce couple  et surtout le pouvoir de Monsieur Triki en sa qualité de responsable de La Chaire UNESCO par laquelle il s'est fait empereur "sur le monde Arabe et L'Afrique, s'affichant ainsi "maitre et possesseur" de cette Chaire - ne cesse d'enrichir la théorie de l'empire à l'Ere des Droits de l'Homme.  A y vérifier, il  déroute et fait dévier La Chaire UNESCO  de ses  nobles objectifs  vers des tristes tropiques; objectifs auxquels j'adhèrerais toujours car ils  restent  pour les tunisiens et les tunisiennes, étudiants et chercheurs  et Doctorants  en la matière , une valeur en soi. ( si infraction scientifique y ait, elle devrait se résoudre dans la déontologie de la confidentialité des tâches octroyées aux Jurys et non me donner vulgairement et tragiquement  à la Presse sans me rendre compte, soit verbalement soit par écrit de ce qui m'arrive depuis une quinzaine d'année aujourd'hui).
   Depuis quelques temps Monsieur Triki est l'objet de lourdes et " méchantes" critiques vues d'abord les nombreuses et  différentes fonctions qu'il occupe. Mes propos se fonderaient toujours sur deux références auxquels, je me permets -  ( en tant que enseignante chercheure en philosophie mais aussi en tant que citoyenne- universitaire portant toujours un grand  intérêt à ce qui se trame à l'université tunisienne de la sorte, reconnu aujourd'hui," corruption"   et à l'avenir de cette Université   et en même temps à l 'avenir d'  une  certaine inter culturalité  à caractère onusien qui passerait  certes par L'UNESCO)- de vous les signaler en tant que pièces justificatives  : un premier article souligné par le Chef du département de philo, à l'occasion du cinquantenaire de L'Université de Tunis -I-  dénonçant les débordements de quatre couples qui siègent sur cette  l'Université de puis plus d'un demi siècle  intitulé " La philosophie des couples", Journal le Temps du 17 nov2008; et un seconde référence , sur le même Journal, paru à l'occasion de "La Journée mondiale de Philosophie".  ( cette journée mondiale fut Programmée en Iran, et pour des raisons diplomatiques de la conjoncture internationale, elles fut annulée et monsieur Triki l'avait fait passer-médiatiquement comme journée  exclusive " en monde arabe et en Afrique" sans suite scientifique. Ce qui nous est resté c'est une" pelletée" de" mafieux" qui prennent leur café culturel  à La Cité des Sciences,  sinon comment monsieur et madame Triki  aurait-ils manqué un voyage en Iran!). Cf  Khémais Khayati : la philosophie des  perroquets", Le Temps, 5Dec 2010  où ce journaliste et critique d'art cinématographique, dénonce un "milieu fermée" qui va à l'encontre de l'essence même  de la philosophie en "raison ouverte" traduite aujourd'hui chez Edgard  Morin dans  "Science avec Conscience" et hier si loin, chez Aristote après Platon en "Architectonique" comme  Nomos où  loyauté et autonomie doivent être à l'honneur de cet esprit du monde si divers  et non de quelques uns où tout se fait louchement à hui-clos. ( la façon de me retirer mon diplôme et de me radier est une image à grands échos  en leur défaveur bien sûre).
 Sur cet état des lieux où nous sommes réduits à des perroquets, voire à  des oies à voix rauques et à des chômeurs et ainsi handicapés,   je juge que c'est le sort même de la philosophie qui se traduit tristement là;   et c'est en ce sens que  je  vous laisserais toujours le soin, à votre honneur  Monsieur le Conseiller Général  de La Chaire Unesco en Tunisie,  de  juger de l'objet de ma démarche en lettre ouverte à votre honneur, celle de retirer le privilège de la Chaire Unesco de philosophie et de la réviser selon les nouveaux paradigmes  d'un socio- culturel  tunisien qui se veut  et se fait  doucement autre, neutralisant ainsi, l'esprit des dictateurs;  et à la lumière aussi, des aspirations d'une jeunesse estudiantine qui croit à l'air du temps auquel doit être soumise La Chaire UNESCO de philosophie en Tunisie  et  qui -à mon sen-  a besoin, elle aussi,  du grand air toujours avivé par la culture et la science à tropiques universellement gais et  joyeux .


 Ceci dit, j'ai le plaisir de porter  à la connaissance de votre honneur, Monsieur le Conseiller général, que je suis Melle Rafika ben mrad, titulaire à la base,  d'un Baccalauréat français, je suis auteure de " La mimesis créatrice dans la Poétique et La Rhétorique D'Aristote", paru chez l'Harmattan en 2004, ainsi que d'un autre ouvrage paru chez le même éditeur " principes et causes dans les Analytiques Seconds d'Aristote". Je suis actuellement Enseignante de philosophie à l'Institut de Théologie,  Université de La Zitouna, non loin du siège de Monsieur Fathi Triki et de ses différentes tables rondes  où se  débattent  de nombreux thèmes depuis 15 ans sans  jamais me laisser assister ni participer, et ce par  décision volontaire  de  neutralisation et  d'exclusion. (  nous sommes trois enseignants de philosophie à la Zitouna  subir le maléfique des Triki puisqu'ils sont dans tous les jurys nationaux). Laissez -moi toujours ce plaisir d'ajouter à votre connaissance aussi,  que je   suis repérable sur le site www. mytexte.com / pseudo-auteur : " naira "avec quelques poèmes en langue française dont " La pizza"   où je dénonce cet esprit "d'empire dans un empire " entre Renard et Corbeau.
 Et si, Monsieur, votre honneur,  j'ai pris la peine  de vous traduire, en bref ma cause, c'est parce qu'elle est aujourd'hui divulguée sur les medias, cf  جريدة  السقير التونسية "  du  1er février 2011 et les deux numéros qui  précèdent cet hebdomadaire (actuellement sur le marché); et là,  il n'y a pas votre honneur, que du personnel . Et même s'il y ait  du personnel, il ne cesse de prendre des détours judiciaires contre ce Monsieur qui a réellement envenimé ma vie par une prévalue de fonctions criminellement harcelantes, rien que par sa façon de me fermer les fenêtres là où je vais et de m'exclure ainsi barbarement et injustement comme si le monde est sa volonté et sa représentation pour parler à la manière de Schopenhauer;  ce qui pourrait nuire à l'image de marque de La Chaire Unesco en Tunisie,   dans le monde arabe et en Afrique, de même  à La Revue "Rue Descartes " puisqu'il  se plait à citer cette pluralité de fonctions dont-il jouissait et jouit encore et  par laquelle il participe à reproduire le" chômeur"," l'indigent"," le même" , "le paralytique" et "l'handicapée" que je fus pour cinq année en attendant la décision du Tribunal Administratif et qu'il espère la  voir encore  en handicap forcé  par effet de ses autorités et celle de son épouse  ici et là .
Monsieur le Conseiller Général auprès de L'UNESCO
 Permettez-moi de terminer cette lettre en vous donnant deux  papiers" traduisant l'état de dépendance totale  de cette situation contradictoire où  je me trouve -matériellement- dans l'impossibilité de répondre à cette main  si généreusement forte de Madame Angèle Kremer Marietti qu'elle m'avait prêtée quand on lui avait raconté ma peine et la casse  lourdement irréparable qui m’entourent et mes obligations lucratives à l'égard d' de l’un des avocats qui plaident à ma cause pour le même été 2008. Ainsi voit-on comment je passe mes vacances depuis 1997. Cet été là je devais réaliser une aspiration qui me tient toujours à cœur : faire parti d’une institution de recherche loin des espaces où ces couples président, dans des cieux autres hors de ceux de Monsieur et de Madame Rachida Triki et de leurs "Entreprises" en Arts, Sciences et Philosophies, les leurs essentiellement, traduite théoriquement par leur chef de département: "La philosophie des couples".



















Depuis 15 années, j'ai n'ai même pas eu le temps de susciter en moi  la nostalgie de les revoir en "professeurs". Ils ont forcé même  ma mémoire à ne pas avoir ce droit de garder une image correcte de ceux qui fussent mes professeurs, puisque mes études Supérieures de A à Z fussent suivies à l’'Université de Tunis -I- et je ne suis pas une intruse à ce département et je ne sais toujours pourquoi ils ne cessent de me considérer ainsi et de quel droit ?
Melle Rafika Ben M'rad
Email: rafikamrad2002@ yahoo.fr
Mobile : (00216) 22798874



حصري جدا: رسالة مفتوحة للمستشار العام المسؤول عن منظمة اليونسكو في تونس



توجهت الآنسة رفيقة بن مراد أستاذة فلسفة بالمعهد الأعلى للشريعة في جامعة الزيتونة برسالة مفتوحة  للمستشار العام المسؤول عن منظمة اليونسكو في تونس تطالب فيها المنظمة بإلغاء إمتياز الفلسفة اللذي أسند من قبل المنظمة للسيد فتحي التريكي أستاذ / كلية العلوم الإنسانية والاجتماعية، جامعة تونس 1 .... 

وتضمنت  الرسالة  مختلف التجاوزات اللتي تحتم إستبعاد هذا السيد من منصبه و تجريده من الإمتيازات ... التفاصيل في الرسالة 










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